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Araekin, le seigneur-magicien

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Araekin
Seigneur de Gondolin - Le Magicien
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Araekin


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Date d'inscription : 06/08/2018



Feuille de personnage
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MessageSujet: Araekin, le seigneur-magicien Araekin, le seigneur-magicien EmptySam 27 Juin - 10:19

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Nom : Minyanon (Prénom de naissance, signifie « premier fils » en Quenya), Minuion (forme sindarin de son prénom de naissance), Araekin (nom d'origine Valarin)
Âge : 3915 en année solaire, soit environ 408 année valienne
Race : Elfe vanyar
Langue(s) parlée(s): 2 dialecte Quenya (vanyarin et noldorin), Valarin, Sindarin, Entique, langue des Druedain (Base), Taliska
Localisation : Vit en Gondolin
Lieu de naissance : Valinor
Titre ou surnom : Sairon (signifiant magicien en Quenya) ou Ithron (forme sindarin)
Rang : Prince des Vanyar, Seigneur de Gondolin (Intendant)
Allégeance : Eru Ilúvatar et ses Valar (particulièrement Irmo), les peuples du bien



Mon âge : 23 ans.
Je fais du Rp depuis : Presque 10 ans maintenant, dont 6 exclusivement dans l'univers du SdA.
Autre chose : Rien à dire de plus, tout est très bien Wink
J'ai besoin d'un tuteur : Maedhros si tu l'acceptes, pour tous les petits détails propre au forum.
J'ai lu les règles : Oui dans leurs moindres détails !
araeki11.jpg

Caractère et physique



D'aucuns dirait en Valinor que le jeune Araekin était un elfe doux et sympathique, à l'instar de nombre des siens, il était un artiste accomplis bien sûr, verser dans diverses sortes d'arts, la musique, les chants, la peinture... il vivait a cette époque une vie de dilettante qu'il continue encore de vivre, dans une certaine mesures. Il passa son temps a arpenter les plaines, les forêts, les collines et les montagnes du Beleriand. Cherchant toujours plus, s'exerçant a tout, ne serait-ce qu'un minimum.
Car c'est avant tout, à cette époque, le trait qui transparaissait le plus chez lui, sa curiosité ! Il était un elfe, né en Valinor, la terre la plus belle d'Arda, il vivait en compagnies des gens de son peuple, de maïar. Mais ce qu'il souhaitait, c'était découvrir des choses, toujours plus, il s'instruisit durant toute sa vie en Valinor. Car sa curiosité était presque maladive, il ne pouvait s'empêcher d'en vouloir plus et il commençait même à envier, ceux des elfes qui étaient rester en Beleriand, car ils avaient la joie de pouvoir découvrir tout Arda et sa beauté, avant de finalement rejoindre Valinor, lui était condamné a ces terres qu'il connaissait déjà.

À cette époque, lorsqu'il vivait en Valinor, il ne voyait aucune différence entre les vanyars, les noldors et tous les peuples elfes. Au début, il avait de la peine pour ceux n'ayant jamais entrepris le grand voyage ou s'étant arrêté, puis il en vint a les envier… Mais son plus fort et terrible revirement fut pour ceux des noldor qui devinrent à ces yeux, la plus grande des malédictions de son peuple !
Après que Fëanor eut refusé de rendre aux Valars les arbres, un geste qu'il ne comprend toujours pas aujourd'hui, les actes qui s'ensuivirent lui firent avoir une profonde rancœur envers les noldors. De part sa lignée, il était prince des Eldars, tous les elfes étaient les siens et il ne pouvait comprendre comment et pourquoi les noldors apportaient la mort et la guerre en Valinor. Aujourd'hui encore, bien que cette rancœur soit adoucie, il n'a qu'une confiance limité envers les elfes ayant suivi Fëanor.

Araekin prend aussi très au sérieux son statut de prince et a un point peut-être, trop important. D'après lui, les elfes sont les enfants parfait d'Eru, les premiers à s'être réveillé et les seuls a avoir été invité a rejoindre les terres bénies de Valinor qui l'ont vue naître. Ainsi, il juge que la couronne de son père ne devrait pas englober les Eldar seuls, mais l'entièreté des enfants d'Eru, même ceux adopté que sont les nains. Il a ainsi, développer un attrait et bien qu'il n'a put encore mener son projet, il tient a ce que les enfants d'Eru soit tous unis, ensemble, sous une même bannière, un même peuple et un même roi. 

Le Beleriand l'a aussi changé, profondément et l'elfe enjoué et amicale était devenus tantôt, un être méfiant, hautain et possessif. Il est toujours néanmoins amical, sa joie, bien que moins forte est toujours présente, il est toujours hautain, se sachant prince et se pensant au-dessus de tous. Mais il sait rester humble avec ceux respectant ses titres, jugeant d'égal a égal tous les êtres d'Arda, pour peu qu'ils respectent ses titres et rangs. Néanmoins, il devint aussi, de plus en plus triste… il était arrivé en Beleriand, inexpérimenté, ne sachant de la guerre que ce qu'il en avait appris, il ne l'avait jamais vécus, il se sentait invincible et immortel. Ce trait, fut exacerbé pendant les premières victoires des elfes en Beleriand, mais ensuite, ce fut la déchéance… Les diverses défaites, la mort de ses amis proche… Tous cela brisa quelque chose en lui, il ne se sent plus invincible non… il se sent extrêmement vulnérable, il a compris, par l'expérience l'inexorabilité de la mort, même pour ceux venant de Beleriand, il a appris à ses dépens, que les noldors, n'étaient pas un cas a part et que la noirceur existait en tous, tous les fils d'Eru avait ce potentiel néfaste de tomber dans les bras de Morgoth et de céder a sa malice. Et bien qu'il se batte pour Eru et ses Valars… Il craignait lui-même, d'un jour sombrer dans ces travers de devenirs un serviteur du mal, ou bien un maléfique serviteur de son propre mal, comme Fëanor et son serment.

Enfin, physiquement, Araekin est un représentant des vanyar, bien qu'il porte une autre origine fort visible dans ses cheveux. De longs cheveux bruns, descendant jusqu'à la moitié de son dos forment ce trait particulier, là où les vanyar arborent une chevelure dorée, néanmoins, son sang de vanyar transparaît encore dans sa chevelure par quelques mèches et des reflets doré dans sa chevelure.
Son visage, bien que changé par les maux du Beleriand et des derniers siècles chargé de chagrin ont néanmoins très peu changé jusqu'alors. Un visage fin et amicale, souvent accompagné d'un sourire sincère, car bien que méfiant, il préfère d'abord croire au bon cœur d'une personne, portant un regard doux sur chacun de ceux qui croisent sa route.
Ses yeux ambrés, certain disait doré, était un trait vanyar qu'il avait sut gardé et l'or était de toutes les couleurs sa préférée ! Nombre d'Eldar appréciait le Telperion, mais lui, son cœur était au Laurelin et sa lueur, celle qui l'a vu naître.

Sa stature démontrait à elle seule la noblesse de son rang, se tenant toujours droit, comme pour surplomber le plus de personnes possible. 
Au début de sa vie, il arborait des vêtements au blanc éclatant et aux coutures d'or, aujourd’hui pour autant, il porte plutôt des couleurs sombres. Portant le noir dans ses tenues, en signes de deuil pour tous ceux des siens morts dans une guerre qui a déjà trop duré.




Histoire



Je vis le jour en des temps qu’aucun de ces terres hormis mes amis magiciens n’ont connus, en d’étranges éons où il n’y avait de lumière en ces terres que celles des étoiles.
Je vis le jour en Aman, terres bénies des Ainurs, lieu de villégiature d’être antidatant le monde lui-même. Terres que mes confrères Vanyar avaient choisies comme leur propre lieu de vie.
Je vis le jour en 1140 de l’Année des Arbres, mais aujourd'hui, ce temps semble a jamais révolus. Ainsi, pour être compris de tous, je suis née en 10923 si l’on venait à compter cet âge en années solaires.

Ma naissance se déroula avec une certaine appréhension, j'étais le premier des enfants d'Ingwë, grand roi des Vanyar, en effet, et mes parents, soucieux avaient préféré le plus beau des lieux de Valinor et surtout le plus paisible afin d’accoucher sans danger. Ainsi vis-je le jour en Lorien, le grand jardin du vala Irmo comme beaucoup nomment d’après ce lieu.
J’étais née à la sixième heure valienne, là où le Laurelin commence à fleurir et le Telperion s’éteindre, à ce moment-là, pour moi le plus beau de tous, la lumière des deux arbres se mêlent en une douce symphonie de clarté qu’aujourd’hui l’on ne peut plus contempler.
Si beaucoup des miens préféraient des deux arbres le Telperion, je ne partageais pas cet avis et me revendiquais fils de l’arbre d’or et j’aimais à porté sur moi nombre de parure au couleur de cet arbre.

J’étais donc fils d’Ingwë, son premier fils et c'est ainsi que je me nommais, j’étais en Valinor un prince pour le peu de chose que cela pouvait offrir. Les terres des dieux étaient calme et prospère, jamais il n’y avait eut de guerre, de conflit, même mineure, tout était parfait en ces lieux et ce titre n’était que ce qu’il était, un titre. On me présentait un fort respect, mais je le rendais en retour, car après tout, j’étais peut-être prince, mais héritier était en Valinor un grand mot. La couronne me reviendrait si jamais mon père venait a trépasser, quoique nous étions en Valinor et revenir des halls de Mandos était aisé et rapide pour nos gens. Jamais je ne deviendrai roi des vanyar et en réalité, cela me convenait, en tout cas, c'est ce que je pensais et pense encore aujourd'hui.

Mais je ne naquis pas seul, car oui j’étais le premier enfant à naître, mais ma mère n’attendait pas que moi et ainsi, après moi, naquit ma jeune sœur Astriel. Nous étions inséparable, nous étions la fierté de nos parents, nous étions les premiers enfants d’Ingwë.
Nous apprenions toutes formes d’arts, car c’était là ce en quoi notre peuple excellait, si les Noldor étaient des artisans, alors nous, vanyar étions les maîtres des arts.
Mais, en tant que petits-enfants d’Ingwë, nous avions aussi un plus que certains elfes n’avaient pas et quelques maïar furent nos précepteurs.

En Valinor, j'apprenais pendant ma paisible vie des langues diverses, d'abord le valarin la langue des Ainur, car de toutes, je la trouvais la plus belle et radieuse. Mes confrères elfes, eux, la trouvaient irritante, lourde à parler et étrange par rapport aux dialectes quenya, pour ma part, pouvoir apprendre la langue des Ainur était un honneur et un plaisir et je me complaisais a user de cette langue.
J'appris aussi les divers dialecte quenya, car je ne restais pas en place, comme nombres des vanyar, je ne faisais que voyager, tout le temps et je visitais mes confrères noldor de temps a autres.

Car en effet, je voyageais en tout Valinor, en plusieurs siècles de vie, je ne pouvais pas demeurer au même endroit, j'étais poussé par ma curiosité. J'explorais toutes les plaines de Valinor, même les montagnes du Pelóri.

Vivant dans les terres saintes d'Aman, dernier territoire baigné de la magie qui forgea ce monde, mon peuple usait de ce que les « petits peuples » nomment aujourd'hui magie. Pour nous, il s'agissait simplement de techniques, aussi bien dans le chants, la musiques ou l'artisanat. Car si pour certains, les runes sont « magiques », ce terme n'existe pas réellement au sein des miens. Mais j'usais régulièrement de forme d'art ou de techniques dites « magiques » et celles-cis me firent connaître sous le nom de Sairon, ce qui signifiait Magicien en Quenya.

Puis vint le jour fatidique, lorsque Melkor attaqua les deux arbres, signant la fin de leur vie, que Fëanor refusa d’offrir les silmarils aux valar pour ramener à la vie les deux arbres et que ces derniers furent volé par Melkor.
Ce fut alors un temps de chaos et de folie dans les terres bénies qui me virent naître, Fëanor massacra des teleri, volant leurs navires pour parvinrent en Beleriand et récupérer ses Silmarils, osant même promettre de les récupérer sur le nom du créateur lui-même.

Ce fut de terrible jours qui s’annoncèrent, loin de la lumière pourtant si douce des arbres… C’est ainsi que je pris une décision que fus un temps, j’eus regretté, mais qui aujourd’hui est pour moi la meilleure chose que j’eus faite, je pris un navire pour le Beleriand.
Fëanor était un noldor horrible par ses actes, fils de Finwë, il avait salis le nom de ma tante, Indis, par ses actes et de ce fait, celui de ma famille. Il refusa d’accéder à la requête des Valar, tua nombre de Teleri et finit par échouer en Beleriand.
Moi, le fils d’Ingwë, devait laver l’affront fait à ma famille et restauré les précieuses pierres au Valar pour enfin ramener la lumière des deux arbres en Valinor.

D'aucuns diraient que j'étais un être profondément orgueilleux de par mon statut et mon rang et je me voyais réussir là où mon aîné avait échoué… C’était là ma plus grande bêtise et aujourd’hui j’ai beaucoup apprit de mes erreurs et en rien ne regrette d’avoir quitté Valinor pour protéger les peuples libres… sauf peut-être de ne plus pouvoir contempler ma sœur, voir ses danses et entendre son doux chant…

J’arrivais ainsi au Beleriand en l’an deux du Premier âge du Soleil, que l’on nomme simplement aujourd’hui premier âge. Beaucoup d’homme pensant, dans leur immense humanocentrisme, que les âges ont été créer par eux à daté de leur réveil. Cela bien sûr fut faux, le nom complet, Premier âge du Soleil parlant de lui-même.
C’était en Valinor que je découvris le soleil pour la première fois, par sept fois la lune traversa le ciel avant que le soleil ne vienne poindre.C’était en Valinor que je découvris le soleil pour la première fois, par sept fois la lune traversa le ciel avant que le soleil ne vienne poindre. 
Ce ne fut pas aisé, suite au massacre de Fëanor sur ces terres bénies… Mais j'avais des amis parmi les falmari et j'avais pu obtenir ainsi un navire. Des amis m'étant fidèles et acceptèrent de m'emmener ainsi en Beleriand, gardant mon projet caché, jusqu'au jour de notre départ.
J'avais parlé de mon intention déjà, mais elle ne fut pas reçut avec plaisir parmi les miens. Bien sûr, poussé par mon orgueil, je ne les avais pas écoutés et je suis donc partis, je n'avais pas à subir la malédiction de Mandos comme mes comparses Noldor.


Ainsi, je découvrais le soleil, le jour où je commençais mon départ, cinq ans après la destruction semée en ces terres par Fëanor. C'était une longue attente, car j'hésitais au début, partir dans ce grand inconnu me terrifiait ...
C’était pour moi un étrange spectacle, le soleil, haut dans le ciel, le ciel lui-même était bleu, je ne comprenais pas pourquoi. Le Soleil offrait à la voûte céleste une teinte azurée et cachait à mes yeux la beauté des étoiles… Mais une fois couché, le ciel reprenait sa teinte sombre parsemé des étoiles et des constellations que j’avais toujours connus.
Je suis aujourd’hui habitué a ce phénomène, mais je reste nostalgique du temps des arbres et continue d’admirer le ciel étoilé la nuit venue.

Je parvins enfin en Beleriand où je fus accueilli par un teleri du nom de Cirdan dont j’appris qu’il fut un premier née quelques années après mon arrivée seulement.
J’éprouvais un profond respect pour Cirdan lui qui aurait put rejoindre Aman depuis si longtemps déjà, mais qui restait ici se complaisant à concevoir de somptueux vaisseaux pour les eldar du Beleriand.

Une fois en Beleriand, je commençais à partir à la recherche des noldor et plus particulièrement de mes cousins et parvint à retrouver, par chance Fingolfin et Írimë. Ceux-là étaient mes cousins de sang, fils de ma grand-tante Indis et aussi ceux dont j’étais le plus proche.
Néanmoins, le remariage de Finwë fit de Fëanor un membre à par entière de ma famille et peu après, je me mis en quête de rencontrer ceux de ses enfants qui étaient en vie.
Ainsi, je jouais de mon titre et je parvins a me faire accepter d'eux, certains se montrèrent assez heureux de voir un autre elfe de Valinor a leur coté, d'autres me regardaient avec méfiance. Mais jamais je ne leur demandais de m’obéir, car je savais que cela briserait l’étreinte que j’avais sur eux, tant ils furent orgueilleux. Et pourtant, j'aurais put essayer en jouant de mon statut de prince héritier du peuple Eldar … mais je n'en fis rien, tout comme je ne leur dit pas venir pour récupérer les Silmarils, simplement que j'étais venus aider mes comparses et ceux de ma famille.

Mais le premier auquel je me suis présenté, fut le roi de Doriath, je ne pouvais après tout oublier de me présenter au Roi du plus grand royaume de Beleriand. C'est dû moins ce que m'en dirent les teleri de Cirdan.
Je parvins, avec leur aide, à découvrir ainsi la cité de Menegroth et me présentais auprès du roi Thingol comme prince des vanyar. J'avais entendu parler de lui, sans m'en rendre compte à l'époque, car il était en réalité Elwë, frère d'Olwë, seigneur des teleri de Valinor. J'avais pour lui beaucoup de respect en réalité, bien qu'il fût roi, je ne me prosternais pas devant lui non pas comme un sujet, mais par le plus profond des respects.
Je dus néanmoins écourter mon séjour en Menegroth, tentant de retrouver les Noldor et cachant au roi de Doriath, le drame d'Alqualondë, ne sachant pas exactement sa réaction. Je ne souhaitais pas plus de drame et de morts au sein de mon peuple et tout comme je fus surpris du massacre opéré par les noldor, je craignais les réactions d'un roi dont j'ignorais tout sauf le nom.

Je rencontrais ainsi Turgon, le grand roi de Gondolin à l'époque, il était un simple seigneur elfe et je m'amuse a me rappeler qui il était alors qu'aujourd'hui, il était roi de Gondolin, l'un des plus belles cités du Beleriand.
J'étais à ses côtés, quand il installa les siens à Tumladen, l'endroit était si beau, si calme et apaisant… C'était pour moi la preuve qu'Arda recelait de beauté, même en dehors de Valinor, quoique Valinor demeure toujours les plus belles terres d'Arda.

Et c’est ainsi qu’en 60 du Premier Âge, je participais à ma première guerre, Dagor Aglareb, « la bataille glorieuse », un siège sur la forteresse de Morgoth, car aujourd’hui, tel était le nom du vala déchu.
Cette première guerre fut l’une des plus fortes pour moi, car c’était la première bien sûr et jamais, avant je n’avais fait couler le sang de façon intentionnelle et plus encore, jamais avant je n’avais ôté la vie à un être, bien qu’ils furent mauvais et des parodies d’être conçus par Morgoth.
C’est suite à cette guerre que je me rapprochais de mon cousin et de ses fils, mais aussi de mes cousins et de ma cousine, enfant de Finarfin qui lui avait rallié Valinor au lieu de suivre Fëanor.

Je rejoignis ainsi ces derniers auprès du roi de Doriath, Thingol, et par mégarde peut-être, ils commirent la faute que je craignais, ma cousine, Galadriel, parla de la bataille d'Alqualondë.
Thingol, entra dans une profonde colère à cela, il bannit de ses terres le Quenya et bien que nous ne fûmes pas bannis nous même, les tensions entre son peuple et les noldor étaient forte. Le roi de Doriath m'en voulait personnellement de ne pas lui avoir parlé, quand je le pouvais de ce tragique événement, ce à quoi je tentais de lui expliquer en lui mentionnant ma peur de sa réaction et que je ne souhaitais pas moi-même me rappeler à ce douloureux événement qui a vue la mort de tant d'Eldar.
Contrairement à tous les seigneurs que je côtoyais, j’étais ainsi un seigneur sans terre, sans gens, mais je m’en portais fort bien, car cela m’offrait une liberté d’action et de mouvement qu’ils n’avaient pas quant à eux.

C’est lors d'un voyage que je rencontrais les nains des montagnes bleus, ayant entendus parlé de leur peuple par les elfes de Dortiath. Ils étaient d’habile artisans dont la façon était différente de celles des elfes et pour autant, ils étaient meilleurs que même les noldor et seuls Fëanor lui-même dépassait leur art.
Je voulais me rapprocher d'eux, les comprendre, voir en quoi ils différaient de nous, les Eldar et aussi, les unir à mon peuple, car je souhaitais une chose, une union totale de chacun des enfants d'Eru. Ainsi, comme il y avait un roi du peuple Eldar, je souhaitais que cela devienne le titre du roi de tous les enfants d'Eru, je souhaitais, ajouter a la couronne d'Ingwë et par cela à la mienne, les peuples des naugrims. 
C'est en leur parlant, que je rencontrais pour la première fois un elfe qu'ils disaient être leur ami depuis longtemps déjà. Je fus étonné de rencontrer un elfe en ces lieux et j’appris qu’il fut ami des nains de longue date déjà. Eöl, tel était le nom de l’elfe, m’abhorrait à nos débuts, me prenant pour l’un des noldor.
Je pus le convaincre néanmoins que je n’en était pas et tout deux portions en nos cœurs la rancune de Fëanor qui causa la guerre de Beleriand. Car il en était tel pour moi, si ce dernier avait obéi au valar, jamais ce conflit n’aurait existé. Notre rancune commune, fut notre force et je me liais avec « l’elfe noir » comme il était appelé et lui rendais visite lorsque je le pouvais. Ce ne fut pas chose aisée de me faire accepter de lui, mais nous partagions plus que nous ne le croyons, et unis dans une abhorration commune des noldor, bien que ce dernier fût plus terrible encore haïssant presque tristement l'entièreté de ce peuple, nous sommes parvenus à devenir des amis proches.

Je visitais de nombreuses fois les cités naines de Nogrod et Belegost, j'appréciais en réalité beaucoup les cavernes et les montagnes. Étonnant pour un elfe, mais le palais d'Ingwë était situé sur le flanc de la plus belle montagne de Valinor, j'avais depuis toujours un fort lien avec ce monde de pierre. Et la beauté de leurs sculptures était telle, qu'un vanyar comme moi ne pouvait en aucun cas ne pas en admirer la beauté.
Je leur demandais donc, avec insistance, le droit d'apprendre leur langue !
Elle était d'une sonorité que je reconnaissais, ayant appris le valarin en Aman, je reconnus ses sonorités dans leur langue et cela fut logique, car j'apprenais de leur légende que c'était Aulë lui-même qui aurait conçus cette langue pour eux.
C'est ainsi que je commençais à apprendre le Khuzdul, mon apprentissage précédent du Valarin, m'aida a parler cette langue particulière qui en découlait, tout comme j'avais eut une grande facilité à apprendre le sindarin, qui bien qu'il fut une langue différente du quenya, possédait une grammaire proche.

Puis il y eut la construction de la grande citée de Gondolin, citée secrète de mon lointain petit cousin Turgon. Elle était un joyau en ces terres de perditions, d’immense tour blanche s’élevant vers les cieux, protéger par les grands aigles de Manwë, caché aux yeux de tous sauf à ceux qui savent la trouver.
En cette cité, Turgon m’offrit un statut de noblesse a par entière et je portais ces quelques titres avec plaisirs, augmentant mon influence sur le peuple noldor de la sorte et m’élevant plus encore au-dessus de la plèbe.
J'étais particulièrement fier de cette belle cité qui me rappelait encore plus Valinor maintenant qu'elle était terminé. Je me plaisais à penser qu'avec une telle cité, la guerre contre Morgoth serait bientôt terminée et que nous pourrions bientôt rentrer en Valinor avec les Silmarils. Aujourd'hui, je me moque de ce vieux moi trop sur de lui et de ces pensés grotesques et repenses avec une pointe de nostalgie mes terres natales.

Puis vinrent les premiers hommes, j’étais curieux de ces êtres, seconds des enfants du créateur et dans un sens nos frères. Ils étaient plus petit, plus rustre, plus brut et moins élégant, pourtant, j’appréciais ces derniers et souhaitais en apprendre plus d’eux.
Les premiers que je rencontrais néanmoins, ne furent pas les Bëor comme beaucoup, mais bien les Druedain et leurs amis de la maison Haleth qui s’installèrent dans la forêt de Brethil, leur nature ancienne et leur amour de la nature purent vaincre leur apparence hideuse.
Car les hommes de la maison de Haleth, étaient proches de nous, les elfes, bien que moins gracieux et élégant, mais les druedain était… Particulier. En réalité, j'avoue d'abord les avoir pris, pour un genre de peuple nain vivant dans les bois et j'ai tenté de communiquer avec eux en Khuzdul sans résultat. Il fallait dire qu'ils avaient un physique proche, une stature de petite taille avoisinant les 1 mètres 20 et une forte carrure.
Mes premiers liens avec les hommes furent relativement désastreux bien que pacifique, car je ne parlais alors aucune de leurs langues et eux ne parlaient aucune des miennes.
Par la suite, je cherchais les autres peuplades d’hommes et m’imaginais à les ajoutés à la couronne de mon père. Car ils étaient les enfants d'Eru comme nous, mais nous étions les meilleurs de ses enfants, les seuls autorisés aux terres saintes de Valinor et donc ceux désigner pour régner sur Arda.

Continuant mes explorations, je découvrais toujours plus de ces belles terres de Beleriand, évitant soigneusement celles toucher par Morgoth, du moins lorsque je voyageais seul.
Je pus notamment rencontrer Maeglin, le jeune fils d'Eol, qu'il me présenta lorsque nous nous étions par hasard alors, retrouvé ensemble en territoire nain. Une chose me frappa chez Maeglin que je ne comprit que bien plus tard, des traits familiers, une pensée que je laissais rapidement quitté mon esprit alors.

Et c'est lors d'un de ces voyages, que je rencontrais, après des recherches jusque-là infructueuse, les bergers des forêts, les onodrims. J'avais entendu parler d'eux, en Menegroth et dans beaucoup de cités, villes et peuplades sindar et nandor. J'en avais même entendus parler en Valinor, comme des êtres anciens, enfants de Yavanna.
J'avais apprit leur langue grâce a des livres du royaume de Doriath et je me complaisais à chercher leur présence, dévorée par la curiosité de rencontrer ceux qui protégeait les forêts d'Arda.
Je découvrais alors ces êtres immenses, calme et fier, protecteur des arbres de ce monde. J'apprenais notamment qu'ils étaient ainsi en conflits aussi bien avec Morgoth qu'avec les nains, connus pour leur déforestation massive dû à leur besoin en bois.

Puis vinrent les siècles sombres, tous s’enchaînèrent avec rapidité, car les longues périodes semblaient courtes à mes yeux d’eldar millénaire et ce qui se passait en ce seul siècle furent pour moi d’une rapidité déconcertante. Ce fut cela qui brisa les fondations de mon orgueil après que le sang qui coula en Beleriand eût fini d’en éroder les piliers.
Tout d’abord, la sœur disparue de Turgon revint avec un fils en Gondolin et un père, Ëol, que je n’avais pas revus depuis quelques décennies déjà était l’époux d’Aredhel. Et tout se passa rapidement, alors que j’implorais Ëol d’accepter l’invitation de Turgon, il tua par accident Aredhel. Elle était de ma famille, il avait tué un membre de ma famille et sa femme, je ne parvenais pas à comprendre son geste, rien ne semblait cohérent là-dedans.
Mais le fait qu’il fut mon ami et que ce soit accidentel peut-être me poussèrent à ne pas vouloir sa mort selon les volontés d’Aredhel. J’implorais ensuite Turgon de ne pas le tuer, mais en vins et ainsi moururent les parents de Maeglin que je pris sous mon aile.

Maeglin était un être noble comme ses parents, mais plutôt doux comme sa mère, pourtant, je sentais une part de noirceur en lui, hérité de son père et je m’efforçais de le faire aller dans le droit chemin.
Maeglin et moi entretenions une relation familiale comme je n’en avais avec aucun de mes parents, comme si j'étais un père de substitution pour lui peut-être ? En tout cas, c’est ainsi que je le ressentais, car j'éprouvais une affection pour Maeglin qui n'était pas de la loyauté et qui me poussait à toujours revenir vers lui.

Puis vint Dagor Bragollach, de façon inattendue, la montagne gerba une traînée de feu dans les plaines.
Pour cette bataille, Maeglin, suivant les enseignements de son père, forgea une armure d’un étrange acier noir bordé d’or. Il était un étonnant et doué forgeron et je portais avec fierté l’armure de celui qui était mon parent le plus cher en ce lieu.
J’entrais donc dans la mêlée, face à nos ennemis, mais je découvris bien vite la puissance de Morgoth. Balrog, orques et trolls nous attendais, mais pire encore fut Glaurung, un être dont j’avais seulement entendus parler il y a quelques décennies.
Les pertes furent terribles, hommes et elfes moururent dans un nombre que je ne saurais compter alors que notre ennemi se tenait encore droit et fier du haut de ses murailles. Et je perdis Fingolfin, qui seul tenta de terrasser Morgoth, je ne l’appris qu’après son départ et jamais il ne nous revint…

C’est alors que mon orgueil diminua, suite aux nombreuses pertes, je perdis confiance en moi. Lorsque je suis arrivé en ces terres, j’étais jeune et immaculé de tout combat, ma première vraie guerre fut une victoire et je m’enorgueillis de mon sang, pensant cela dû à ma présence et à mon rang.
Aujourd’hui, nous avions beaucoup perdus, nombres des fils de Finwë étaient mort, nous avions perdus beaucoup de nos frères eldars… Et le grand ennemi avait avancé ses forces, Minas Tirith était tombé sous le joug de Gorthaur et fut peuplé de loup-garous, et les terres du nord dévasté par ses forces et les flammes d’Angband.
Néanmoins, on ne change pas un esprit aussi facilement. Et mon orgueil revint à moi de plein fouet, tel le coup d’une masse porté par un troll. Je voyais déjà gagner la prochaine bataille, je me disais que j’étais vivant, preuve que j’étais capable et me convainquis même que cet assaut de Morgoth avait pour seul but de nous effrayer et qu’il se savait perdant. Alors il tentait d’user de la peur et je n’y céderais pas.

Mais pourtant, moi qui en arrivant en Beleriand, me croyais invincible de par ma naissance, comme si même l'acier se courbait devant moi par respect pour mes titres… Aujourd'hui, j'avais au fond de moi, une peur qui grandissait. Je ne lui laissais pas prendre du terrain, je la combattais fièrement… Mais j'avais peur, car j'avais vu mes amis mourir, Maeglin dont j'étais si proche, devenir orphelin… J'avais peur que toute cette entreprise puisse rater et que finalement, peut-être que nous ne pourrions pas vaincre Morgoth…

Ainsi, emprunt de cette profonde détresse, de ce sentiment de culpabilité, de mettre crut invincible et d'avoir dirigé une partie de nos forces… D'avoir par ma faute, conduit des nombreux eldar a une mort terrible aux mains de nos ennemis… Je n'avais plus le cœur à arpenter le Beleriand, comme un seigneur solitaire et sans terre.
Dans ma mélancolie, je proposais ainsi à Turgon, roi de Gondolin, de rester en ses terres et de l'aider a diriger ce royaume par mes conseils s'il l'acceptait. Car de tous les endroits du Beleriand, il était le seul où se trouvait Maeglin et ainsi, le seul au sein duquel je désirais ardemment rester, pour prendre soin de celui qui était pour moi un être si cher.


©Finrod pour le Seigneur des Silmarils: l'Ombre de Morgoth



Dernière édition par Araekin le Lun 29 Juin - 18:06, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Araekin, le seigneur-magicien Araekin, le seigneur-magicien EmptyDim 28 Juin - 2:59

Mae govannen !

Comme discuté en MP préalablement, c'est moi qui va analyser cette présentation-ci avec toi. Merci de ton inspiration motivation et pour le temps investi dans ce personnage tout à fait adapté à notre univers et bien ancré dans celui-ci.

Vu la longueur de la présentation, je ne me suis pas vraiment attardé sur la rédaction en soi, car, de plus, ton style est fluide et les quelques fautes ici et là ne diminuent pas grandement la qualité de ta présentation. Personnellement, j'ai apprécié te lire et j'ai bien hâte de RP avec Araekin !

Pour toutes questions, à l'avenir, tu peux me contacter directement sur mon Discord (Edrahil (Tommy)#0865) ou rejoindre le serveur.

Sans plus tarder, allons donc au vif du sujet. J'espère ne pas te démotiver ou t'effrayer avec mes commentaires !


  1. Concernant les langues connues de ton personnage.
  2. Il n'y a pas d'intendant à Gondolin, comme Turgon est en vit et y est bel et bien. Turgon est joué en PNJ-staff en attendant d'être incarné par un joueur. En pratique, par contre, tu auras le contrôle du royaume pour le wargame et la gestion, comme tu es le plus haut-gradé actuellement. Il te faudra donc trouver un autre titre et modifier ton histoire en conséquence.
  3. Celle-là, il faudra que tu me l'expliques:
    Araekin a écrit:
    il est toujours hautain, se sachant prince et se pensant au-dessus de tous, tout en restant humble
  4. Ce passage est excellent:
    Araekin a écrit:
    tous les fils d'Eru avait ce potentiel néfaste de tomber dans les bras de Morgoth et de céder a sa malice. Et bien qu'il se batte pour Eru et ses Valars… Il craignait lui-même, d'un jour sombrer dans ces travers de devenirs un serviteur du mal, ou bien un maléfique serviteur de son propre mal, comme Fëanor et son serment.
    Bien placé ! Comme je te disais aussi en MP, j'aime que ce danger soit toujours présent pour les personnages de l'univers de Tolkien.
  5. Petite précision:
    Araekin a écrit:
    Terres que mes ancêtres Vanyar avaient choisies comme leur propre lieu de vie.
    . Ingwë est un Elda de première génération et le premier des Vanyar a être arrivé en Aman avec son peuple. Le mot ''ancêtres'' ne semble pas tout à fait approprié ici.
  6. Araekin a écrit:
    Je vis le jour en 1140 de l’Année des Arbres, mais bien peu aujourd’hui savent encore ce que cela signifie
    . Inexact, car le Beleriand est peuplé de Noldor qui ont connus cette époque.
  7. Ce passage pose problème:
    Spoiler:

    La ''magie'' n'est pas un phénomène, une discipline ou un art en soi dans l'univers de Tolkien ou, du moins, comme nous la considérons sur notre forum. Bien que je voie dans ton paragraphe que tu l'assimiles à l'art, la forge et la symbiose avec la vie, c'est le fait que tu utilises ce mot comme si c'était justement un acte en soi d'user de magie, ou une sorte de discipline. Les Elfes, par exemple, n'apprennent pas la magie. Ils insufflent plutôt dans ce qu'ils créent l'essence vitale, leur âme, leur fëa, comme le ferait Eru, mais à plus petite échelle. Bien je constate que tu fasses très attention de ne pas tomber dans le grobilisme, en réaffirmant, par exemple, que la magie de ton personnage n'ait rien à voir avec celles des Valar, je ne suis pas certain si ton idée de la magie corresponde tout à fait avec la nôtre. Par conséquent, il faudra modifier ce passage en parlant davantage des créations de ton personnage, de sa manière d'interagir avec son environnement ou de son lien avec Arda. Également, j'ajouterais que Tolkien utilise le mot ''magicien'' (wizard) pour décrire des sortes d'illusionistes, des joueurs de tours et des artificiers, un peu comme Gandalf.

  8. Araekin a écrit:
    il avait salis le nom de ma grand-tante Indis
    Indis est la compagne de ton oncle Finwë, le frère de ton père Ingwë.

  9. Araekin a écrit:
    Moi, petit-fils d’Ingwë, devait laver l’affront fait à ma famille et restauré les précieuses pierres au Valar pour enfin ramener la lumière des deux arbres en Valinor
    Tu affirmes au début de ton histoire être le fils d'Ingwë.

  10. Araekin a écrit:
    Ainsi, je jouais de mon titre et d’eux tous, je fus accepté, j’étais le prince héritier à la royauté des eldar, et cela, ils le respectaient. Mais jamais je ne leur demandais de m’obéir, car je savais que cela briserait l’étreinte que j’avais sur eux, tant ils furent orgueilleux
    . Je doute certainement que les fils de Fëanor respectent quoi que ce soit qui viennent d'Aman. Bien qu'ils ne te seront pas hostiles et qu'ils te savent héritier des Vanyar, on est loin de la reconnaissance royale. De plus, comment ton personnage leur a-t-il expliqué sa venue ?

  11. J'ai apprécié ce passage, cohérent et en plein dans l'intrigue:
    Araekin a écrit:
    Je dus néanmoins écourter mon séjour en Menegroth, tentant de retrouver les Noldor et cachant au roi de Doriath, le drame d'Alqualondë, ne sachant pas exactement sa réaction.

  12. Araekin a écrit:
    Je rencontrais ainsi Turgon, le grand roi de Gondolin à l'époque, il était un simple seigneur elfe et je m'amuse a me rappeler qui il était alors qu'aujourd'hui, il était roi de Gondolin, l'un des plus belles cités du Beleriand.
    J'étais à ses côtés, quand il installa les siens à Tumladen, l'endroit était si beau, si calme et apaisant… C'était pour moi la preuve qu'Arda recelait de beauté, même en dehors de Valinor, quoique Valinor demeure toujours les plus belles terres d'Arda.
    Turgon est toujours roi de Gondolin.

  13. '' Car les hommes de la maison de Haladin''. On dira plutôt la maison de Haleth.

  14. Les 2 derniers paragraphes sont une bonne introduction au RP et j'apprécie beaucoup quand les joueurs mettent la table en énonçant les projets de leur personnage.


Bon, ça fait pas mal d'information. Après la lecture de ta présentation, je peux être un peu plus tolérant au fait que tu veuilles incarner un Vanya, chose qui n'avait pas été permise jusque là. Or, j'aimerais sentir la fibre de ce peuple dans tes RPs et comment elle est corrompue par l'Ombre et la vie en Beleriand. Pour le moment, je t'autorise à garder cet élément et à le développer. Il te faudra d'abord, cependant, apporter les modifications relatives aux points énoncés ci-dessus.

Aussi, il faut que tu saches que l'évolution de ton personnage se fait à travers le RP, comme discuté en MP. Tu investiras du temps là où tu veux que ton personnage se développe et sache que ton personnage ne peut pas être bon dans tout et tout connaître. Je prends la peine de te le rappeler maintenant pour ne pas créer de déception dans le futur. Encore une fois, je réitère l'idée que le jeu est sûrement plus intéressant ainsi, de tout façon.

Porte aussi une attention particulière au point sur la magie et discutons-en ensemble sur Discord si tu veux afin de démarrer sur la même longueur d'onde. gandalf

Voilà ! Bonne rédaction !
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MessageSujet: Re: Araekin, le seigneur-magicien Araekin, le seigneur-magicien EmptyDim 28 Juin - 9:50

Et bien je te remercie et te félicite d'avoir lut et noter ma fiche en ci peu de temps x)

1) Concernant les langues, j'avais bien en tête qu'il y en avait beaucoup et que cela pouvait se présenter gênant. Mon personnage cela dit est assez vieux, l'apprentissage d'une langue dans la vraie vie, bien que je n'en connaisse pas les chiffres peu se faire en une dizaine d'année je pense. Qui plus est dans les "descriptifs" de la magie sur le forum, il est dit qu'un haut score de magie aide à apprendre une langue plus rapidement. Je m'étais donc dit que cela était tout de même possible.
Mais j'en retirerais quelques unes si cela est une vraie gène, il n'y a aucun soucis Wink

2) Je sais que Turgon est en vie, et tant mieux même x)
Je voulais simplement utiliser le titre d'intendant soit sur la fiche, pour montrer mon rôle sur le forum. Soit rp parlant, comme un véritable statut, dans l'histoire les intendants ont eut plusieurs rôle et fonction mais leur but premier était tout simplement d'être des représentants du pouvoir, notamment en l'absence de leur seigneur. Je pensais qu'un tel rôle pouvait être ainsi user en Gondolin, si non, ce n'est pas grave, je mettrais que je suis un simple seigneur en Gondolin il n'y a pas de soucis !

3) J'essaierais de corriger cela, ici c'est surement une erreur de vitesse de ma part. Je voulais parler ici de sa façon d'être avec les autres seigneurs, en soit il est hautain et fier car il est prince et peut se montrer tel quel. Mais il est proche de ses gens et respecte les titres des autres régents et de leur noblesse.

4) Je te remercie et je suis très content que ce passage te plaise Wink

5) Il est vrai que parler d'ancêtre pour une seule génération d'elfe est un peu gros, je changerais ça

6) Il est vrai que j'avais omis ce détail, je corrigerais

7) En effet la magie est un domaine inné pour beaucoup, mais Tolkien a plusieurs fois indiqué une forme de codification de la magie, comme les runes magiques qui si elles ne sont pas connus ne peuvent pas être utilisé ou encore les mots de commandes ou les "incantations" (Détail en spoiler).
Ainsi, puisque la magie est codifié, je partais du principe qu'il fallait a un moment apprendre certains de ses codes qui ne peuvent de fait pas s'improviser. Mais si cela gêne est n'est pas représentatif de la vision du forum, je l'accepte et je changerais, c'était aussi un passage ayant pour but de prévenir que mon personnage sait et fait usage de magie, pour ne pas sortir cela une fois validé en RP et créer des dissensions Wink
Détail pour les incantations:
Pour l'utilisation du mot magicien, j'use tout d'abord d'un mot différent des Istari, pour justement montrer une différence entre eux. Je voulais user du mot magicien qui a une connotation positive chez tolkien pour décrire l'usage de magie par rapport a sorcier qui lui est négatif.

8.) C'est un petit bug datant d'une autre versions de la fiche fait pour un autre forum. Je croyais avoir corriger chaque passage incriminé mais ma foi non xD
Je fera donc cela rapidement Wink

9) Pareil qu'avant, un bug datant d'une forme Beta de la fiche, merci de me l'avoir noter, je corrigerais Wink

10) Je partais du principe que les fils de Fëanor respecterais les titres et les rangs malgré tout. Mais il est vrai qu'avec leur passif, cela risque surtout de leur faire ni chauf ni froid !
J'ajouterais une petite explication de ce qu'il a dit de sa venue en Beleriand aux fils de Fëanor, la question lui aura surement été posé.

11) Je t'en remercie de nouveau Wink

12) Je n'ai pas comprit pourquoi tu as pensé que je disais que Turgon était mort ou qu'il n'était plus Roi.
"qui il était alors qu'aujourd'hui, il était roi de Gondolin, l'un des plus belles cités du Beleriand.", je crois que c'est cette partie qui t'a posé problème, mais oui ne t'inquiète pas je sais comme dit plus haut que Turgon est vivant et tant mieux

13) Petit bug là aussi, merci, je vais changé cela xD

14) Et pour la 3e fois, merci bien xD
Je suis heureux que tu es apprécié des passages de ma fiche, cela fait toujours plaisir à lire de savoir que son travail est apprécié Wink

Je suis donc comme je le disais, plutôt content de l'acceuil de ma fiche Wink
Je te remercie donc de me laisser jouer un vanya, j'ai bien comprit ton respect de l'oeuvre et a quel point ils sont sensé être rare, je saurais me faire digne de ton écart Razz

Je ferais les modifications dont il y a besoin et je signalerais quand la fiche sera donc corrigé Wink
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MessageSujet: Re: Araekin, le seigneur-magicien Araekin, le seigneur-magicien EmptyLun 29 Juin - 18:06

Les modifications aux points demandé ont été apporté, bonne re-correction Wink
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MessageSujet: Re: Araekin, le seigneur-magicien Araekin, le seigneur-magicien EmptyMar 30 Juin - 5:45

Ainsi donc, je te valide !

N'oublie pas de passer à la boutique réclamer les armées de base de Gondolin. N'oublie pas que les bilans mensuels se font le 1er du mois et que ce sera toi qui gérera le royaume de Gondolin jusqu'à nouvel ordre.

Passe par les quêtes pour faire progresser ton personnage et son royaume !

N'hésite pas à me contacter pour toutes tes questions !

Bon jeu et merci de ta participation !
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